Au cours de l’année 2021, l’AED s’est donné comme mission de développer ses activités de recherche. L’objectif? Miser sur la recherche pour alimenter nos pratiques d’accompagnement entrepreneurial, puis documenter nos pratiques de façon systématique pour en faire bénéficier les communautés scientifiques et pratiques. Sous la coordination d’une professionnelle de recherche, six personnes étudiantes issues de domaines d’études variés s’investissent dans des projets multidisciplinaires en entrepreneuriat, des sciences quantiques à la musique. Elles réalisent des tâches comme la recension des écrits et l’analyse comparative (benchmarking), la conduite et la transcription d’entretiens, la réalisation d’observations participantes et la participation à des rencontres de recherche. Mais de façon plus importante encore, ce sont des personnes engagées et humaines qui s’entraident et qui ont soif d’apprentissage. L’AED est heureuse de pouvoir les compter parmi les membres de sa famille élargie! 

Amélie Lacroix

Extravertie, dynamique, généreuse et aventureuse : voilà ce qui caractérise Amélie Lacroix, étudiante à la maîtrise en physique à l’Institut quantique de l’UdeS depuis janvier 2020. Outre sa passion pour la physique, la Montréalaise vit de voyages et d’adrénaline. Selon Amélie, entreprendre, c’est innover et contribuer à l’émergence de quelque chose de nouveau tout en acquiesçant de nouvelles compétences et connaissances. Dans son travail à l’AED, elle apprécie notamment le dynamisme de l’équipe, l’entraide entre les pairs et travailler sur le terrain lors d’observations de cours. L’énergie que dégage l’AED lui a convaincu de s’y joindre : elle perçoit ce milieu de travail comme endroit où apprendre et entreprendre. Ce travail lui permet de se mettre au défi, de sortir de sa zone de confort, de s’adapter à la recherche qualitative sortant de son champ d’études et d’établir un équilibre de vie sain. Amélie apprécie grandement les milieux dynamiques, humains et sociaux, de sorte qu’elle compte davantage contribuer à la société en offrant son temps comme bénévole dans le milieu carcéral, un domaine qui la passionne parmi tant d’autres.


Chelsey-Anne Mackey 

Passionnée de l’individu et de la relation d’aide, Chelsey-Anne est une étudiante très impliquée, que ce soit dans le milieu académique, professionnel ou personnel. Ses critères pour joindre une équipe de recherche étaient le dynamisme, le plaisir d’être ensemble et le soutien, ce à quoi répondait parfaitement l’AED. Étudiante au baccalauréat en psychologie à l’UdeS et envisageant des études supérieures, Chelsey-Anne est motivée par l’équipe et par les apprentissages qu’elle y fait. Elle perçoit l’entrepreneuriat comme une façon de se mobiliser, d’exprimer son envie d’entreprendre des projets autant pour des bénéfices économiques que sociaux et environnementaux. L’étudiante de troisième année croit que l’AED peut révolutionner le système académique en encourageant des pédagogies alternatives, mission qui la motive dans son travail. Dans son intérêt pour le bien-être de l’humain, Chelsey-Anne s’était déjà inscrite à l’AED pour créer la Pair-Mission, un réseau d’étudiants bienveillants pouvant offrir des séances d’écoute et accompagner les étudiants en difficulté vers les ressources disponibles à l’Université.

Jessica Blakeney 

Native de l’Outaouais, Jessica s’est déplacée à Sherbrooke pour ses études universitaires. En plus de s’être intéressée à la physique, Jessica est diplômée du baccalauréat en communication appliquée et a obtenu un certificat en sciences appliquées. Elle planifie son entrée aux études supérieures l’an prochain et souhaite approfondir les liens entre la communication, la science et la société. Le cadre novateur de l’AED, le désir de s’initier aux pratiques de recherche qualitative et sa soif d’apprendre sont les facteurs qui lui ont insisté à joindre l’équipe. Selon la diplômée, l’entrepreneuriat offre un moyen de concrétiser ses idées, de s’émanciper, d’être créatif et actif dans un groupe social, dans le milieu académique ou professionnel, en plus d’être une occasion de sortir des bancs d’école pour un apprentissage alternatif. Elle valorise les parcours scolaires divergents de l’équipe puisqu’ils alimentent les idées et enrichissent les discussions. Souvent qualifiée de persévérante, sociable, bienveillante et créative, Jessica a au cœur de ses motivations le partage de la science par la vulgarisation pour rendre accessibles les savoirs au plus grand nombre, en plus de la réalité vive des personnes autochtones du Canada.

Éloi Soldera 

Éloi Soldera est étudiant de deuxième année au baccalauréat en histoire à l’UdeS. Envisageant des études de longue haleine, il s’est joint l’AED pour s’intégrer dans un milieu de recherche professionnel et pour obtenir de l’expérience dans un emploi étudiant hors du commun. Il apprécie notamment l’autonomie et la confiance accordée par l’équipe de recherche et les supérieurs, puisque la relation de confiance encourage le dépassement de soi et la gestion de l’équilibre travail-études. La perception de l’entrepreneuriat d’Éloi a évolué depuis son entrée à l’AED. Il le voit comme étant quelque chose qui permet à chaque individu de s’émanciper dans un domaine qui lui est propre et de pouvoir pousser sa passion de façon individuelle. Étant une personne sociable aux intérêts diversifiés, Éloi compte parmi ses passions l’histoire et les sciences humaines. Il aimerait entre autres que ces domaines soient davantage démocratisés ou universalisés, c’est-à-dire de changer leur perception dans la société pour que leurs programmes obtiennent plus de subventions, pour que les étudiants puissent s’y professionnaliser.


Marie-Hélène Haeck 

Détentrice d’un baccalauréat en génie informatique de Polytechnique Montréal et d’un baccalauréat en communication marketing de l’UQAM, Marie-Hélène se place à l’intersection des deux domaines par son esprit à la fois rigoureux, stratégique et créatif. Elle met à profit ces deux expertises dans le cadre de sa maîtrise actuelle en communication portant sur la communication scientifique et les perceptions des technologies quantiques au Québec.  Passionnée de langues étrangères et de voyages, elle a offert des ateliers de conversation de français et d’anglais au Japon, en tant que projet d’été lors de son premier bac. Dans sa grande curiosité et sa soif d’acquérir et de produire de nouvelles connaissances, Marie-Hélène se sentait interpelée par les projets de l’AED. Elle souhaite apporter sa part en recherche qui pourrait contribuer à créer un écosystème entrepreneurial plus développé au Québec. Au sein de l’AED, la Montréalaise se sent motivée par le sentiment d’appartenance qui s’est créé dans l’équipe. Sa vision de l’entrepreneuriat entoure le démarrage d’un projet qui porte un lien social, c’est-à-dire qui saura bénéficier la société ou une communauté, ce qui vient rejoindre ses valeurs d’équité sociale et de répartition de la recherche et des bénéfices rendues possibles grâces aux technologies.

Évelyne Petit 

Évelyne est étudiante de troisième année au baccalauréat en enseignement du secondaire. Native de la petite municipalité de Sainte-Anne-de-la-Rochelle, elle s’intéresse notamment aux causes environnementales, l’égalité pour tous et le bienêtre animal. Évelyne aime être dehors, pratiquer maints sports et rire, mais reconnait aussi sa persévérance et son côté travaillant. La sportive souhaitait s’initier à la recherche en vue d’une maîtrise en orthophonie. Elle voit l’entrepreneuriat comme la possibilité de bâtir quelque chose et de le partager aux autres, comme une passion accessible par l’action. L’AED permet aux étudiants d’entreprendre, mais permet également aux auxiliaires de l’équipe d’explorer et de partager leur fibre entrepreneuriale par l’entremise de la recherche. Le fait que les résultats de recherche soient visibles et proéminents motive Évelyne à poursuivre à l’AED, sans compter l’encadrement fourni par les supérieurs.  


Roxane Meilleur

En plus de la danse et du scrapbooking, Roxane est une passionnée de méthodes de recherche qualitative et partenariale. Détentrice d’un doctorat en psychologie organisationnelle, elle mène de front l’équipe des auxiliaires de recherche de l’AED et veille à l’ouverture d’espaces de rencontre, de projets et de développement. Sa vision de l’entrepreneuriat est calquée sur celle de l’AED, qui va au-delà du lancement d’une entreprise : il s’agit aussi de bâtir des projets qui vont avoir un impact sur la société : « L’entrepreneuriat est quelque chose de transversal, de multidisciplinaire », partage-t-elle. Décrocher un emploi à l’AED représentait pour Roxane une façon de réunir ses divers intérêts, soit l’apprentissage expérientiel, la recherche centrée sur l’action et la multidisciplinarité. En plus de souhaiter contribuer à bâtir une société plus juste et inclusive, elle trouve une grande source de motivation dans les relations qu’elle entretient avec ses collègues de travail, qui la qualifient de créative et rigoureuse. Elle apprécie également la reconnaissance qu’elle reçoit de ses pairs et le fait de pouvoir s’investir dans les réflexions pédagogiques et stratégiques de l’AED, au-delà des activités de recherche.

Restez à l’affût des nombreux projets de recherche générés par l’équipe de l’AED!